Rencontre du Troisième Type....

L'obscurité rendait le tir un peu plus hasardeux, mais Kelley ouvrit le feu sur le soldat en premier. Son arme le rendait plus dangereux que les autres après tout. La première balle frappa l'épaule tenant l'arme. La force de l'impact la lui arracha des mains. Deux autres balles frappèrent la gorge et la machoire. L'air passait bruyament par le trou. Il semblait ne plus être en mesure de respirer. Sa machoire arracha sous la force de l'impact pour tomber au sol. Sa langue pendouillait, mais il ne semblait pas trop y faire attention. Ce n'est que quand il reçut une balle à travers l'oeil qu'il avait enfin réagit. Il tomba au sol. On pourrait croire que c'était la fin pour lui, mais voilà qu'il ramassa son arme pour ramper vers Kelley et Warren. Les Russes avaient pour réputation d'être des durs à cuir, mais là c'était vraiment n'importe quoi. En frappant le torse des deux autres zombis, les balles de Kelley les jetèrent au sol. Toutefois, il ne tardèrent pas à se relever pour reprendre leur marche spasmodique vers eux.

Warren ouvrit donc le feu vers les trois morts-vivants. Le Russe ne fut pas une cible trop difficile et les deux balles liquéfièrent ce qui lui restait de cerveau. En tirant sur les deux autres, l'une des balles frappa l'un d'eux au coeur. Il saignait abondament, mais il continuait toujours d'avancer alors que l'autre rata sa cible. L'autre reçut les deux balles dont l'une au visage et l'autre au torse lui aussi. Il eut un mouvement de recul l'instant de quelques secondes, puis tomba sur le dos. Ça ne semblait pas être les premières balles qu'il avait reçut. les Russes devaient avoir affronté ces mêmes zombis et ils l'auraient déjà blessé gravement. Les coups de feu devaient certainement avoir été entendus jusqu'au village. Surtout ceux des Bloody Roses.

Warren vit qu'il en restait un toujours un debout après tout ses tirs, il se dit que le reste de son chargeur devrait suffire a fair rendre l'âme a se monstre.
Ainsi il prit son fusil a deux main et tira trois coups visant la tête , ensuite il recharga:
- Pas que ont s'amuse pas, mais on va manquer de munitions si on continu comme sa

Le dernier mort-vivant tomba au sol, le haut du crâne arraché. Des morceaux de chair étaint colés a l'arbre derrière. Kelley continua de le viser, au cas où il se relèverait.

-Si tu veux, mais moi je vais plus loin. À un kilomètre par là ya une maison. Je dois aller voir si la personne qui y habite vit toujours.

Kelley reagrda en direcion de la maison du vieux Welson. ICela faisait longtemps qu'il y était allé. L'homme pouvait aussi bien être mort de vieillesse depuis trois ans...

Warren soupira et se mit a coté de kelley pour le suivre:
- J'ai pas dis que je venais pas, j'ai dis que si ont continu a dépenser nos balles comme sa ont va finir mort

Il rit.

-Je te signal que c'est toi qui a vidé un chargeur complet sur l'un d'eux. Moi, je n'ai tiré que six balles.

Il poursuivit son avancée à travers les bois, attentif aux moindre bruit, au moindre mouvement, tentant de ne pas se faire déconcentré par les dires du jeune homme à ses côté - qui devait n'avoir qu'un an ou deux de moins que lui en fin de compte - ni par ses idées qui vagabondaient.

-Je donnerasis n'importe quoi pour une gorgée de rhum.

Il pensa à la bouteille vide qu,il avait laissée près du premier mort-vivant. Avait'il bien vidé la bouteille. Il regrettait de l'avoir jetée. Peut-être restait t'il une goutte à l'intérieur? Au moins, s'il l'avait gardée, l aurait pu vérifier à nouveau, se rendre comte qu'il n'en restait vraiment plus, et au moins se défouler en la fracassant sur un arbre.

-Saloperie, lâcha t'il pour lui-même.

Il commençait déjà à devenir agressif en raison du manque d'alcool qui était devenu come un besoin vital pour lui. Il fuma plus rageusement sa cigarette, tentant de combler ce manque par une autre consolation.

Warren continua son avancer avec kelley:
-tu donnerais n'importe quoi? aller tiens, mais arrete de me parler comme si j'avais 2 ans

Warren sortis une bouteille en metal, comme uen gourde et la lanca a Kelley:
- Du rhum ,moi aussi j'aime bien

Kelley et Warren arrivèrent finalement à la vieille maison du vieux Welson vivant dans les bois. Ils n'avaient pas rencontré d'autres créatures puantes en chemin. Difficile de dire si c'était une bonne ou une mauvaise chose... En poussant la porte, celle-ci se décrocha de ses gonds pour s'écraser au sol. Quelques rongeurs détalèrent à cause du bruit assourdissant de la porte. Personne ne semblait être passé ici depuis bien longtemps. Quelques bouteilles disposées dans un coin attirèrent son attention. Elles étaient couvertes de poussière, mais seul leur contenu était digne d'intérêt. Un peu de rhum serait certainement la bienvenue. Malheureusement, il ne s'agissait là que d'un peu de vodka et de vin. En vérifiant au fond, il réussit au moins à dénicher une bouteille de rhum.

Dans la pièce d'à côté, un sac à dos sur lequel se trouvait un sac à dos sur le lit. Un sac à dos utilisé par l'infanterie après laquelle était fixé une radio à ondes courtes qui semblait en bien meilleur état que la dernière. Du sang recouvrait le lit et il y en avait aussi de nombreuses traces aux alentours. Difficile de dire si ce sang était celui de Welson, d'un zombi ou de quelqu'un d'autre. L'une des fenêtres dans la chambre était brisée et il y avait du sang sur le verre encore fixé au cadre de fenêtre.

- Watch moi

warren avanca tranquillement en fesant attention au moindre bruit et empoigna la radio pour retourner a kelley. il tenta d'envoyer un message a ceux de la radio, si il y en vait. il tenta d'amilioré l'antenne et changer de place si possible

Kelley reconnut la maison où il avait grandi. Elle était petite et très rudimentaire, mais cela était tout de même confortable. L'endroit semblait bien décrépi, mais ça n'était pas vraiment différent de quand il l'avait quitté. Welson n'était pas fort sur la propreté. Où était ce Welson d'ailleurs? Il n'était pas vraiment surpris de ne pas le trouver là. Si ça se trouvait, il avait quitté la maison peu après son enfant adoptif. Il but un peu de rhum de la bouteille poussièreuse. Il était bon malgré tout. Aussi rendit-il la bouteille de métal à Warren.

-Merci kid. Eeeh Warren pardon

Celui-ci avait monté dans son estime seulement par le fait qu'il avait bien voulu lui donné du rhum. Il avait alors empoigné la bouteille et en avais bu la moitié.

Il s'intéressa finalement à ce que Warren trafiquait.

-C'est ploucs te répondront pas. Et s'ils le font, ils ne nous apprendrons rien de plus. Moi je dit qu'on retourne au village et qu'on passe au chez Ed.

La radio étant dans un meilleur état, il lui serait plus facile d'envoyer un message. La même voix en Russe se fit entendre à nouveau. Voyant qu'elle avait encore à faire avec des gens qui parlent Français et non Russe, elle se remit à tenter de parler Français avec la même difficulté et un accent identique. Toutefois, comme la réception était meilleure, Kelley se rendit compte que cette voix de tout à l'heure était celle d'une femme.

-Je vous avoir dit de partir. Vous savez pas contre quoi vous mesurer. Vous devoir partir tant que vous avez une chance. Déjà que vos coups de feu les ont alertés.

Une pause se fit dans ses paroles et des coups de feu se firent entendre. Les coups de feu résonnèrent finalement jusqu'à Rey et Kelley. Ils semblaient venir de l'Ouest.

-Plus le temps de vous parler. Je dois aider les autres.

Plus aucune réponse parvenait de la radio à présent. De plus en plus de coups de feu venaient de l'Ouest. Selon la fréquence des coups de feu, ils devaient plutôt nombreux. Au même moment, des bruits de pas se firent entendre derrière eux. Le vieux Welson entra dans la maison tout en trainant un chevreuil avec lui. Il ne semblait pas particulièrement surprit de voir Kelley et Warren, mais pas des plus contents non plus. Il avait remarqué qu'ils regardaient les traces de sang dans sa chambre.

-Qu'est-ce que vous foutez par ici? Vous comprenez pas le concept de propriété privée? Pour le sang, y'avais un de ces bizaroïdes qui a défoncé la fenêtre pour essayer d'entrer chez moi. Une chance que je dors toujours avec mon fusil de chasse parce qu'il avait l'air de vouloir me faire ma fête. Peu de temps après, y'a deux types en uniforme qui sont venus me voir. Je comprenais rien à ce qu'ils racontaient, mais ils avaient l'air d'être en train de fuir quelque chose.

Le vieux Welson alla prendre l'une des bouteilles de vodka et alla s'asseoir dans l'un des vieux divans poussiéreux dans la pièce d'à côté. Il la déboucha avec ses dents et se mit à boire. Il ne semblait pas vraiment s'en faire à propos des coups de feu qui empiraient de minute en minute.

**********

Urting avanceait au pas de course dans la végétation de la forêt. Il avait changé de direction après avoir commencé à entendre les coups de feu nourris de la part des Russes. On dirait presque qu'ils menaient une bataille. Contre qui ils pouvaient bien se battre? La guerre était finie depuis des années après tout. Peu importais en fait. Avec sa masse, Urting n'avait pratiquement rien à craindre. Ça serait également une bonne occasion d'aller les approcher pour "discuter" un peu avec eux. Ils pourraient toujours expliquer la raison de leur présence avec son marteau...

Urting aperçut devant lui un homme qui semblait tituber en direction des coups de feu. Il n'avait pas vraiment remarqué Urting, ce qui était fort étrange puisque l'Allemand était loin d'être un modèle de subtilité. L'homme semblait totalement décharné. Ses vêtements étaient en lambeaux et il avait beaucoup de sang sur lui. Il avait une chaussure manquante ainsi qu'une jambe qui semblait être cassée. Il semblait poutant avancer plutôt facilement avec ce handicap, malgré le fait qu'il était chancelant et qu'il se cognait contre les arbres en chemin...

En regardant l'homme à moitié mort (car il ne sais pas qu'il est mort), il se doutait que l'homme n'était pas normal. De un, personne ne peut l'ignorer... Il fait tout pour qu'on le remarque et l'autre timbré est assez stupide pour le manquer??? De deux, un tel homme avec de tels blessures seraient mort au bout de son sang ou du moins agonissant en train de prier son ou ses dieux... De trois, avoir du sang comme ça sur soi, si on est pas mort, c'est que c'est celui de qulqu'un d'autre... Alors un assassin... De quatre, il lui manquait un soulier... Preuve que l'homme est dément... Sinon, il n'aurait tout simplement pas de souliers... Sa marche vraiment trop mal avec un soulier, alors en garder un n'est pas logique.

Et de cinq, la raison la plus importante: Il ne lui aimais pas sa tronche... Quelque chose n'allais pas... Il ressemblais aux légendes de zombies qu'on lui contait jeune... Il riait bien... Mais ça n'existe pas des zombies, si? Dans tout les cas, son corps entier lui dissait de frapper... C'était un réflexe... Il ne tappait jamais sas avoir envie de tapper... ET c'était le cas aujourd'hui...

Levant son marteau dans les airs, il visa le ventre du monstre. S'il était humain, il survivrait avec des côtes brisés... Sinon, le type se relèverait pour tenter de le bouffer... De toute façon, que ce soit un mec vivant ou pas, il n'avait jamais aucun regret... JAMAIS!

-Eh mon vieux, ça te tente de goûter mon marteau?

Baff... (Paff, mais avec l'accent allemand)

-Welson! C'est moi, Kelley... Qu'es-ce que tu fais encore dans ces bois? Tu devrais aller au village. Il y a des gens dangereux dans les parages.

Après un sourire sincère, il avait repris son air froid dépourvu d'émotions habituel. II était vraiment heureux de revoir ce vieux fou. Cependant, il ne voulais pas le montrer. C'était étrange : en venant jusqu'à cette maison, il espérait revoir vivant son père adoptif. Maintenant qu'il l'avait devant lui, il avait peur de ses sentiments. Kelley avait toujours eu peur de s'attacher aux gens. Il avait peur du pouvoir que cela leur donnait sur lui. C'était la raison pour laquelle il n'était pas revenu le voir depuis toutes ces années. Aussi choisi t'il la meilleure excuse qu'il avait pour se séparer de lui.

-Moi, durant ce temps, je vais m'occuper de ces sauvages.

Il n'attendit aucune réponse. Il but plusieurs gorgées à la vieille bouteille de rhum pour oublie ses émotions et surtout pour les cacher à Warren et Welson et parti en direction des coups de feu.

Urting:

-Eh mon vieux, ça te tente de goûter mon marteau?

L'homme décharné s'arrêta alors net pour se retourner et fixer Urting. Le marteau ne tarda pas à le frapper en plein ventre. Le coup de marteau le jeta contre un arbre et celui-ci tomba par terre. Voilà quelques secondes qu'il ne bougeait plus. L'avait-il tué? L'homme recommencea à respirer bruyamment et releva la tête vers Arminius. Il ne semblait même pas avoir été affecté par le coup de marteau même s'il devait bien avoir plusieurs côtes cassées. Il se releva lentement pour marcher dans la direction de l'Allemand. Un liquide gluant s'écoula de sa bouche alors qu'il émettait un grognement rauque. Le qualifier de bestial serait incorrect puisque n'importe quel animal aurait reculé après avoir reçut un tel coup.

Warren et Kelley:

Le vieux Welson resta de marbre face aux deux jeunes. Il se contenta de prendre une gorgée de vodka lui aussi.

-Ouais... On devient toujours un peu nostalgique du bon vieux temps. Va donc sauver ces Ruses alors. Je vais rester ici pour garder le fort. Tu sais bien que je déteste les gens de toute façon. Je crois bien que je me sentirais plus à l'aise de vivre sachant qu'il y a ces macabés marchant que de vivre au village. Je suis un ermite fou après tout.

Il déposa ses pieds sur une petite table posée devant le divan et ouvrit son fusil de chasse pour y mettre deux balles. Peut-être était-il vraiment fou de préférer rester ici qu'avec les morts-vivants après tout. Toutefois, malgré son air de glace, Kelley sentais bien qu'il était plutôt content de le revoir. Il finit par lui lancer un sourire en coin.

-Qui sait... Peut-être trouveras-tu une petite jeune présentable dans le lot. Essaie de pas trop jouer les héros pour l'impressioner par contre.

-Arh! Tu bouge encore? Sa tombe bien! Je me disais que tu n'était pas normal ni humain! Par exemple, je trouve dégoutant que tu bave partout... Tu est dégoutant! Je vais m'occupre de toi! Je ne te laisserais pas te relever! Werde sterben! (Littéralement: Va mourrir)

En voyant le zombie qui n'arrêtait pas de bavé s'approcher de lui, il décida de lui redonner un bon gros coup de marteau pour le refaire tomber et pour ensuite lui fracasser le crâne... Rien de plus simple... Mais après tout, est-ce que c'était compliquer? Frapper dans le ventre encore pour la chute... Ça bien fonctionner, non? Ensuite, je lui fracasse le crâne avec mon marteau...

Au premier coup de marteau, le zombi cracha du sang en plus de cette horrible substance verdâtre et tomba sur le dos. Aussitôt tombé au sol, il recommenceait à tenter de se relever. Urting lui asséna alors un coup de marteau sur la tête alors qu'il était à quatre pattes. La tête explosa comme une pastèque quand il reçut le marteau sur la tête. Du sang et autres fluides indescriptibles avaient aspergé les bottes et le bas des pantalons d'Urting ainsi que les arbres alentour. Avec une telle arme, mieux valait être prêt à se salir un peu.

La voie semblait être libre à présent. Il pourrait soit continuer son chemin en direction des coups de feu ou alors rebrousser chemin afin de trouver quelques renforts. Toutefois, s'il allait chercher de l'aide, il devrait bien faire vite car plus il attendait, plus les Russes risquaient d'essuyer des pertes. Après ce qu'il avait eut à infliger comme dègats pour en tuer un seul, il devait bien se douter qu'ils étaient en danger. Ces choses étaient-elle présentes dans la forêt depuis longtemps? Peut-être les Russes étient-ils responsables de leur présence ici...

En essuyant son marteau sur le sol, il regardait ses vêtements sales taché de sang et ce qui semblait être de la morve de zombie... Ce qui était plutôt dégeux, mais qui laissa un sourire dans la figure de Arminius: Enfin quelque chose à tuer facilement et qui est légal! hourra! Quel magnifique invention de l'humanité! Enfin, si c'est vraiment des humains qui l'avaient créer... Et si c'étaient les Russes? Bah, on verraient... Je vais leurs posé quelques questions... Hehehehe...

En allant vers les coups de feu, une idée lui vint à l'esprit: Et si on allait chercher les autres? HORS DE QUESTIONS! Ils sont pour moi les zombies! MWHAHAHAHA! Et si je retourne au village, ils font se faire trucider... Alors j'y vais, je leur dit vers où aller pour être en sécurité et on tue les zombies survivants... Simple, efficace et... Et c'est déjà bien...

Urting:

Ces Russes avaient effectivement quelques réponses à lui fournir. Alors qu'il continuait vers eux, les coups de feu se faisaient de plus en plus rares. Étaient-ils en train de massacrer ce qui restait de morts-vivants ou servaient-ils déjà de casse-croute à ces choses? Quoi qu'il en soit, mieux valait aller voir de quoi il en retournait lui-même. Urting continuait de se frayer un chemin à travers la végétation. La forêt, ça ne semblait pas être quelque chose pour lui.

Il s'arrêta pour voir que quatre de ces cadavres ambulants lui barraient la route. Un seul n'était pas bien dangereux, mais le danger augmentait vite à mesure que leur nombre grandissait. L'un d'eux s'aperçut alors de la présence d'Arminus et poussa un grognement sourd qui fit se retourner les trois autres. Heureusement, aucuns d'eux ne semblaient armés. Peut-être étaient-ils même trop stupides pour simplement savoir se servir d'une arme. S'ils étaient tout comme les légendes le disaient, alors mieux valait éviter une morsure...

-Vasp! Quatres? Toujours à coup de griffe et de dents? Bah, je vais te les casser! Et à toi je vais t'arrcaher la machoire! Et toi, tu finira en bouillie! Et toi... Je vais écraser ton crâne sous ma semelle!

Malgré les paroles qui disait, Urting avait conscience du danger... S'ils étaient quatres, il y en avait peut-être d'autre plus loin... Ce qui serait logique... Aussi, il ne pouvait les tapper comme le premier: Ils étaient quatres... Il ne pouvait simplement foncer dans le tas... Car s'il devenait un zombie, tous ses Russes allaient mourrir! Et par ça, c'est sans qu'il les ai jugés dignes ou pas de mourrir sous son marteau! Mais, en homme civilisé, il se devait de les aidés... Pour le moment du moins...

Prenant des repères sur les quatres zombies (surtout pour lui, mais l'admin à le droit de les nommés ainsi si tel est son désire...), il se les nomma dans sa tête: Baveur à l'extrémité gauche (car il bave...), Chapeau au milieu/gauche, Cravate au milieu/droit ainsi que Sale Gueule à l'extrémité droite...

Il se fit un plan dans sa tête... Prenant en compte que les ''X'' sont des zombies et le ''O'' Arminius...


À 4 contre 1, la meilleure chose à faire est la défense... Attendre que l'un ou plusieurs d'entre eux soient à porté de son marteau pour les faires tombés à la renverse... Une fois par terre, il est plus facile de leur explosé la tête... Alors que s'il fait un coup à la tête, les trois autres le mangeront sur place!

Donc, s'ils lui foncent dessus, il les frappent en les attendants... Après tout, mort ou pas, le corps brissera en petit morceau...

Par contre, s'ils l'entourent...

Urting ferra un tourbillon pour s'en débarraser... Ensuite, il ira vers le plus proche pour lui écrasser le crâne...

*Mon plan devrait me permettre de vivre... Ils sont pas intelligent... Si?*

Baveur et Chapeau furent les premiers à approcher Urting. Un bon coup de marteau à la poitrine suffit à les faire tomber tous les deux au sol. Cravate et Sale Gueule ne tardèrent pas à les rattrapper. Le même traitement les attendaient et ils allèrent embrasser le sol à leur tour. Il écrasa la tête de Baveur par terre, mais Chapeau avait eut le temps de se relever avant qu'il ne puisse lui faire éclater la cervelle lui aussi. Il réussit au moins à lui donner un deuxième coup de marteau pour le renvoyer au sol. Alors qu'il allait frapper Sale Gueule qui était à mi-chemin de se relever lui aussi, celui-ci reçut le marteau au ventre, mais garda ses mains aggripées au bout du marteau. Il semblerait que même les zombis sont capables d'apprendre quelque chose.

Alors que Sale Gueule tentait encore de tenir le marteau, Cravata s'approchait dangereusement près d'Arminius. Il viendrait à bout de le mordre s'il tentait encore de se servir de son marteau. Une morsure pourrait bien s'avérer bien mortelle et peut-être même pire... Chapeau semblait être sur le point de se relever lui aussi. Il en restait encore trois.

Urting dégagea son marteau des mains de Sale Gueule avec une certaine aisance, mais il lui avait tout de même fait perdre un temps précieux. Tous les trois étaient assez près de lui et tentaient de l'encercler. Urting fit un tour sur lui-même avec son marteau pour les jeter au sol. Il s'approcha de Sale Gueule pour lui écraser la tête sous son pied à l'aide de son propre poids comme il disait qu'il lui ferait. C'était deux mis en charpie, mais il en restait toujours deux autres.

*ils sont plus brillant qu'ils en ont l'air... Je pense que sans plan, ils m'auraient vite réduit en charpie! Au moins, il y en a deux de moins... Mais je ne pourrait pas faire ça toute la journée... Je devrais pouvoir me débarrasser de ses deux là facilement, mais il ne faut pas rencontrer des groupes plus importants... Sinon, c'est la mort...*

Pendant que Cravate et Chauve (Chapeau qui a perdu le sien et qui découvre ses cheveux inexistants) se relevaient, il devait pensé à un truc... Ils apprènent vite et ils ont été capable de bloquer un coup de marteau... Ce qui n'était pas commun... Mais après tout, ils ne ressentaient plus la douleur ou pas... Alors bon... Sa force dont il était si fier ne lui sert à rien... Malheureusement...

*Dès que je rentre à la forge, je modifie mon marteau pour lui mettre une lame au bout ainsi que d'autre amélioration... Une arme qui fait des dégêts létaux ne font rien...*

Comme il restait Cravate et Chauve, Arminius décida de leur brisé les jambes... Il avait vu avec quel difficulté le premier zombie avançait avec difficulté... Après tout, qu'il ressentent la douleur ou pas, sans appuie pour les os, ils ne pourraient tenir debout... Ensuite, un coup de marteau en pleine poire devrait réglé le cas...

*Mais je suis dans la merde s'ils tiennent mon marteau... Bah, si je fais des rotations, ses mains resteront sur le manche, mais séparé du corps... Après tout, il sont pas très frais...*

En effet, ils ne semblaient pas bien impressionants comme ça, mais le fait qu'ils ne ressentaient pas la douleur leur donnaient un net avantage sur les vivants malgré leur lenteur. Toutefois, il pourrait également utiliser cette force à son avantage, car l'absence de douleur peut souver se trouver à être en fait une faiblesse. La douleur est en quelque sorte un signal d'alerte après tout. Il suffisait qu'ils réussissent à immobiliser Urting assez longtemps pour se faire un buffet d'Allemand en plus des Russes. D'ailleurs, ils semblaient tous converger vers leur position. Si ça se trouve, ils devaient bien en avoir des dizaines à dégommer.

Cravate s'approcha le premier. Urting frappa plus bas afin de lui casser les jambes. L'os de sa jambe droite se fractura et sortait de celle-ci. Bien entendu, il tomba au sol et devait ramper pour se déplacer. Ça rendait le travail d'Arminius bien plus facile ainsi. Il eut à repousser Chauve afin d'avoir le temps d'écraser la tête de Cravate comme les autres. Au moins, ces choses ne souffraient pas avant de mourir, à mois que leur souffrance générée par leur corps en décomposition était telle qu'ils ne sentaient rien d'autre. Quoi qu'il en soit, le mieux que l'on pouvait faire était de les mettre hors de leur misère.

C'était maintenant le troisième qui mordait la poussière à nouveau. Le dernier zombi aurait une fin semblable au premier maintenant qu'il était seul. Un coup de marteau sur la tempe le débarassa de la moitié supérieure de sa tête. Le corps eut quelques spasmes avant de s'effondrer au sol. Seuls, ils n'étaient pas une telle menace, mais la prudence était tout de même de mise pour ceux qui étaient groupés. Urting pouvait toutefois compter sur une arme relativement silencieuse à comparer des armes à feux des autres. Mis à part les dégats qu'elle faisait un peu partout à cause des éclaboussures, il attirait beaucoup moins l'attention que ces Russes qui semblaient avoir balancé leur artillerie lourde. Le bruit des mitrailleuses, ponctués des fusils à répétition, était pratiquement constant.

*Plus ils utiliseront leurs armes, plus facilement ils seront repéré... Mais ils n'ont pas tous un marteau de guerre comme le mien ni un sabre/dague/couteau/épée ou autre arme du genre... Mais au moins, je sais que les zombies peuvent entendre... À un certains points dissont...*

Tout en essuyant son marteau sur l'herbe, Urting décida de pressé le pas... Après tout, les Russes avaient besoin d'aide... Mais il trouvait dommage de ne pas pouvoir prendre de souvenir... Il aimait bien le chapeau, mais bon... C'était pas le sien...

Arminius prit la peine d'écraser une fois de plus les têtes (ou ce qui en reste) pour s'assurer qu'ils soient bien morts... Après tout, il n'en faut pas beaucoup pour se faire mordre... Alors mieux faut faire attentione et redoublé de prudence...

(OOC: Post dégeux de ma part... Mais bon... J'ai pas grand chose à ajouter :S)

Mieux valait s'assurer qu'ils étaient bien morts s'il en avait la chance en effet. Il était facile de se faire mordre et les conséquences seraient désastreuses. Un autre ne tarda pas à lui bloquer le chemin de nouveau. Toutefois, celui-ci était seul encore une fois. Urting n'eut qu'à prendre un élan pour le frapper droit sur sa tête. La tête éclata sous l'impact alors que le zombi était toujours debout. C'est ce que l'on pourrait appeler un joli mouchage...

Il n'en rencontraient pas beaucoup en chemin, mais il était facile de se douter que c'était les Russes qui devaient se tapper la majorité d'entre eux. Tous les zombis dans les environs semblaient converger vers eux. Après un certain temps, les coups de feu semblaient diminuer en intensité. Elles arrivaient de façon plus saccadée et irrégulière. Probable qu'ils étaient en train d'essuyer des pertes et qu'ils ne pourraient plus résister encore bien longtemps. Urting devrait se dépêcher s'il voulait les atteindre à temps...

*Bordel... Pourquoi il me faut courrir alors que j'ai le gros mareau qui pèse dans les 60 livres! Bah, oui, je suis fort comme un toreau, mais c'est pas une raison... Ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort... MON OEIL! Ils étaient pas mort ses types! Je sais pas ce qui a fait ça, mais je pense qu'ils sont tous franchement dans la merde... Au diable la rancune... Pour le moment... Mais qu'est-ce qu'ils foutent dans le coin ses cons... Ils devraient fuir et distancer ses zombies... Même moi je peux le faire! Et comme je suis pas le meilleur courreur...

Attend... Il m'avais dis quoi Ed à la taverne? Ah oui, il dissait:

''J'ai beau refuser de lui en vendre, il se retrouve quand même saoul mort à chaque fois. Il doit être en train de se faire des amis en prison. Je crois que c'est ça la véritable punition pour les autres pour être franc.''

Non! C'était pas ça... Réfléchit! AH! Je sais! Il dissait:

''Le plus troublant, c'est qu'ils disaient que c'était des militaires. Il était pas certain, c'était que des supposition car question Russe y'a pas grand monde qui est calé en Russe dans le coin. Sauf peut-être toi qui est... Enfin...''

J'ai compris! C'est pas juste des militaires! Sinon, ils auraient tués les zombies à coup de baillonette ou quelque chose... Alors que s'ils n'ont pas le choix, ils utilisent tout pour protéger des gens! Et d'après les bruits, je pense que les zombies font de plus en plus de victimes! Alors ils ont des blessés en plus...

Mais aussi, qu'est-ce qui a causé ce bordel? Des Russes, des zombies... Je comprend pas... Il manque un morceau... Mais bon, il devront me fournir une explication! *

En remarquant le nez rester sur son marteau, il l'enleva le morceau disgracieux et se dépêcha... Il ne pu s'empêcher de penser que la course était le plus dur dans cette lutte contre des zombies... Son père lui avait souvent dit que le combat n'était rien comparé à l'energie perdu à marcher, courrir et à se plaindre... Il avait bien raison...

Kelley cessa son avancée pour écouté lorsque Welson parla, mais ne se retourna pas pour autant.

-Fais comme tu veux, vieux...

Il se retourna et le regarda dans le yeux, pour lui certifier qu'il était on ne peut plus sérieux.

-S'il y a un défaut que je n'ai pas , c'est bien l'imprudence.

Il se retourna et se mit en marche, espérant attendre les Ruses avant que ceux-ci ne soient tous dévorés. Déjà les coups de feux diminuaient d'intensité.

*Ils ont déja sibi des pertes. Si un flux constant de ces choses survient, c'est le début de la finpour eux. Si je considèrent que c,est peine perdu, je devrai trouver un moyen de fuir. Je n'ai aucune raison de fusionner mon sort au leur.*