Alexandre de Fursac
Prénom: Alexandre
Nom: De Fursac
Surnom: Alex
Âge: 41 ans
Classe: Infanterie
Profession: Chasseur et "résolveur de problèmes"
Armes:-
Ithaca 37-
Colt M1911A1-
Batte de base-ball-
Couteau de boucherDescription psychologique:Alex à pris de mauvaises habitudes aux USA et ça se sent. C'est un type impulsif, qui déteste tourner autour du pot et généralement pas aimable... Sauf quand il essaye de vous planter, littéralement comme figurativement.
C'est le genre à vous péter les deux jambes pour un mot de travers... Six mois après le mot de travers. Et bien sûr, il jure comme un charretier et est prêt à tout résoudre en démontant tout et tout le monde... Ou mettre le feu à leur maison, c'est marrant aussi. Pas quand ils sont dedans, bien sûr.
Toutefois, ces défauts cachent aussi une loyauté sans faille. S'il jure qu'il ne vous fera, il ne vous fera rien, pour peu que vous n'essayez pas de le planter, à moins que vous n'aimiez vous réveiller avec le cadavre exsangue de votre chien suspendu dans votre chambre.
Description physique:Alex est un homme grand et assez musclé, avec pas mal de cicatrices résultant de balles et/ou de coups de couteau. Il prend soin de lui et se lave autant que faire se peut, en plus de se raser tous les matins au couteau (c'est PAS pratique). Cheveux noirs, yeux marron, visage assez dur... Physiquement comme psychologiquement, c'est un homme qui ne rigole pas tous les jours.
Il porte souvent le même set de vêtements : grosses chaussures de marche, pantalon et chemise en toile épaisse et veste en cuir. Quand l'envie ou le besoin s'en font sentir, il a toutefois gardé son costume cravate. Avec la gabardine et le fedora assorti, bien sûr.
Autre:Parle français, anglais et un peu d'italien, sait conduire, sait distiller de l'alcool, résiste bien à l'alcool et aux drogues (merci la Prohibition!)
Histoire:Bien qu'Alex soit né en France, il ne s'y est jamais senti chez lui. L'arrivée des Sammies* en 1917 pour porter le coup fatal à l'Allemagne et les histoires du pays qu'ils racontaient aux gosses confirmèrent qu'il serait bien mieux en Amérique. Là-bas, l'argent coule à flots, tout le monde est heureux, il n'y à pas de guerre et de maladies, etc...
Bien sûr, une fois arrivé à Liberty Island, les choses s'avérèrent quelque peu différentes. Pour commencer, les nouveaux immigrants n'étaient pas hyper-bien vus et avaient du mal à trouver du travail. Exception faite des travaux les plus désobligeants... Et des travaux illégaux.
En 1923, Alex fut remarqué dans une bagarre de bar par Johnny Torrio, leader d'un des plus gros gangs de Chicago. La Prohibition et la bagarre pour le contrôle des comptoirs d'alcool illégaux qui s'ensuivait demandait de plus en plus de bras armés pour protéger les convois d'alcool, détruire ou capturer ceux des concurrents et intimider les policiers et les politiciens qui se mettaient en travers du business. Et il y avait toujours de la place pour peu qu'on soie prêt à se salir les mains.
Jusqu'à la fin de la Prohibition, Alex à botté des culs, volé des camions, cassé des jambes et Thompsoné des gros bras de gangs rivaux pour Torrio et son successeur, Al Capone. L'arrestation de ce dernier et la fin de la Prohibition à sonné le début de la fin pour le crime organisé à Chicago ; de plus, la rumeur de monstres mangeurs de chair humaine en Alaska et au Mexique commençaient à se faire pressantes.
Quand les zombies atteignirent le Texas, Alex fit sa valise et repartit en Europe dans le premier bateau en espérant que les choses étaient plus sûres en France... Pour voir Paris tomber quelques jours après son retour.
Avec une valise pleine de fringues, une poignée d'armes et son courage, Alex partit vers la Belgique, l'un des rares pays ou il n'y avait pas encore 100% de zombies... Et y trouva un village.
* surnom donné aux troupes de l'US Army par les français pendant la première guerre mondiale, en référence à Oncle Sam